Echos, Rumeurs et Fait-divers
A plusieurs reprises dernierement on aurait aperçu un homme vagabonder dans Windhowl, cherchant renseignements sur les demeures a louer, un eventuel cadastre a consulter, ou les personnes a rencontrer a cet effet.
Il se murmure ça et là que les brigands associés du prince des voleurs seraient moins productifs ces derniers jours... Réalité ou affabulation? En tout cas, le nombre de vols lui n'a pas diminué.
Si d'ombre je suis vêtue, si d'un frôlement vous me remarquez, Si dans l'ombre de la nuit mes yeux enfin remarquez, alors puissent les dieux avoir pitié de vous, car déjà vers eux votre âme sera en route, par ma main et par mon art.
- Valérian Rayne
- Messages : 471
- Inscription : 08 janv. 2015, 00:19
Il semblerait qu'un couple ce soit installé au manoir-citadelle des Rédempteurs, suite à l'incompréhension et la véhémence d'un groupe d'artherkiens, peut-être veulent-ils laisser les esprit se calmer pour accéder au dialogue serein plus tard.
Nulle doute que les préjugés ont eu la part belle la veille.
Nulle doute que les préjugés ont eu la part belle la veille.
Depuis l'aube levée, la taverne de Lighthaven est en proie à un joyeux remue ménage, les portes en ont été barricadées et les fenêtres obstruées, apparemment, la nouvelle tavergiste ne prends pas les choses à la légère!
Si d'ombre je suis vêtue, si d'un frôlement vous me remarquez, Si dans l'ombre de la nuit mes yeux enfin remarquez, alors puissent les dieux avoir pitié de vous, car déjà vers eux votre âme sera en route, par ma main et par mon art.
Il y aurait eu quelque échange brûlant à la Taverne de Lighthaven.
Un jeune brigand, quoique honorable pour un homme des bas-fonds, s'est engagé dans une conversation provocatrice avec un élu d'Artherk.
Sa conduite séditieuse aurait dérangée la responsable du lieu et par la même occasion, poussé un étrange homme à la longue queue de cheval à l'empoignade... Les tensions semblent régner en maîtresses sur le Havre de Lumière.
Ce malandrin afficherait sans honte son admiration pour Asarr et pour la malfaisance du diable Balork.
Un jeune brigand, quoique honorable pour un homme des bas-fonds, s'est engagé dans une conversation provocatrice avec un élu d'Artherk.
Sa conduite séditieuse aurait dérangée la responsable du lieu et par la même occasion, poussé un étrange homme à la longue queue de cheval à l'empoignade... Les tensions semblent régner en maîtresses sur le Havre de Lumière.
Ce malandrin afficherait sans honte son admiration pour Asarr et pour la malfaisance du diable Balork.
Il se dit que la taverne du Dragon Celeste ne désemplit pas, la tenancière dormirait même dans les branches d'un arbre tout proche... Mais qu'irait faire une tavergiste dans un arbre?!
Si d'ombre je suis vêtue, si d'un frôlement vous me remarquez, Si dans l'ombre de la nuit mes yeux enfin remarquez, alors puissent les dieux avoir pitié de vous, car déjà vers eux votre âme sera en route, par ma main et par mon art.
- Astrée Tsalys
- Messages : 133
- Inscription : 21 avr. 2013, 15:01
Les soirées passées à la taverne du Dragon Céleste semblent bien se remplir, entre les jeux à gages et les discussions qui s'éternisent.
Quant à savoir si c'est directement lié au fait d'avoir pu croiser une amazone nue dans les rues qui faisait de la course à pied lorsque la lune était bien haute...
Quant à savoir si c'est directement lié au fait d'avoir pu croiser une amazone nue dans les rues qui faisait de la course à pied lorsque la lune était bien haute...
Jusque tard dans la nuit, des curieux auraient pu appercevoir deux Neeryens discuter sur la plage de Silversky.
Au matin, plus de trace d'eux, si ce n'est d'un chateau de sable qui a l'air d'avoir pris des heures a construire, entouré de douves reliant la mer au tour du chateau et un petit pont de bois.
Au matin, plus de trace d'eux, si ce n'est d'un chateau de sable qui a l'air d'avoir pris des heures a construire, entouré de douves reliant la mer au tour du chateau et un petit pont de bois.
La tavernière ne sera pas revenue de la nuit, nul ne l'aurait vue non plus... Sur la jetée quelques pétales de fleurs, oubliés, que le vent aura sans aucun doute fait disparaitre à l'aube.
Si d'ombre je suis vêtue, si d'un frôlement vous me remarquez, Si dans l'ombre de la nuit mes yeux enfin remarquez, alors puissent les dieux avoir pitié de vous, car déjà vers eux votre âme sera en route, par ma main et par mon art.